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Plusieurs foyers utilisent le fioul domestique pour se chauffer. L’entreprise Clean Cuve vous propose ses services d’entretien, de réparation et de neutralisation et de retrait de cuves à fioul. Que vous soyez un particulier ou un professionnel, comptez sur nous pour entretenir votre cuve à fioul. Équipés de camions-citernes et d’une équipe compétente, nous sommes prêts à vous satisfaire par la qualité de nos services. Si vous êtes propriétaire d’une installation au fioul, vous savez que votre cuve à fioul à Lucéram est un élément important. Après tout, elle stocke le combustible dont vous avez besoin pour produire de la chaleur et assurer votre sécurité et celle de vos proches. Cependant, comme tous les appareils, elle devra être remplacée lorsqu’elle aura atteint la fin de sa durée de vie. À ce moment-là, vous devez décider de reconvertir ou de la faire enlever. Clean Cuve dispose des équipes compétentes pour le dégazage, découpage ou neutralisation de cuves. Nous vous proposons des prestations liées aux cuves à fioul. Nous recommandons d’effectuer un nettoyage de sa cuve fioul tous les 10 ans, Clean Cuve est le professionnel qu’il vous faut pour l’entretien.
Retrait, démantèlement ou découpe cuve à fioul à Lucéram
Avec le temps, votre cuve à fioul peut s’user et vous laisser avec un système de chauffage qui ne fonctionne pas aussi bien qu’il le devrait. En moyenne, la plupart des réservoirs de mazout domestique durent dix ans, ce qui signifie que vous devrez probablement le remplacer à un moment donné. Les « boues » sont un phénomène que l’on observe avec tout type de pétrole qui est laissé en stockage pendant de longues périodes. Avec le temps, le pétrole est exposé à des éléments simples comme l’air, la lumière, la chaleur, l’eau et les éléments catalytiques. Des réactions chimiques se produisent dans tout mazout de chauffage, provoquant la formation de molécules plus grosses et plus grandes jusqu’à ce qu’elles se transforment en boues hydrocarbures. Ces boues se déposent au fond de la cuve à fioul domestique. Un nettoyage de la cuve est indispensable pour un meilleur fonctionnement. Avant de dégazer votre ancien réservoir, notre équipe formée nettoiera soigneusement le réservoir afin de s’assurer que tous les matériaux inflammables et dangereux pour l’environnement sont retirés. En tant qu’entreprise expérimentée en cuve à fioul Lucéram, nous sommes là pour vous aider à l’entretenir et le nettoyer. Pour en savoir plus sur nos services, veuillez nous contacter.
Engager un professionnel pour effectuer les travaux de cuve fioul
Lorsque votre cuve à fioul n’est plus utilisée, il est nécessaire de procéder à une vidange, un dégazage, un nettoyage et à la neutralisation ou au démantèlement. Choisir entre le démantèlement et la neutralisation de la cuve à fioul est important. Le propriétaire doit choisir entre ces deux opérations de fin de vie pour la cuve à fioul. Lorsque la cuve est enterrée, il est préférable d’opter pour la méthode de neutralisation. Il est recommandé pour la cuve aérienne d’opter pour le démantèlement. Cette opération consiste à enlever la cuve en la découpant. Ces opérations de sécurité préalables sont obligatoires. La neutralisation est une opération qui ne concerne que les cuves enterrées et difficiles d’accès. Elle consiste à rendre la cuve inutilisable en la remplissant d’un matériau solide et inerte. Pour en arriver à cette étape, il faut passer par le nettoyage et le dégazage. Ce sont une opération réglementée, mais également dangereuse. Avant tout, il est fortement conseillé de faire intervenir un professionnel cuve fioul Lucéram disposant notamment d’une excellente connaissance des mesures de sécurité nécessaires au bon déroulement de l’opération.
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Service d’intervention Citerne à fioul
- Nettoyage et de vérification de votre cuve à fioul aux environs de Lucéram
- Dégazage
- Vidange
- Pompage de la boue hydrocarbures
- Neutralisation au sable/à l’eau
- Démantèlement
- Reconversion
- Enlèvement ou découpage
- Tests d’étanchéité
- Pompage et stockage dans camion ADR
- Évacuation des déchets en centre de traitement agréé
Lucéram une belle ville méditerranéenne
Lucéram [lyseʁam] est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Lucéramois.
Lucéram possède le village de Peïra-Cava, première station de sports d'hiver du département créée à l'initiative de Victor de Cessole en 1909, auquel l'on accède par le col Saint-Roch et le col de l'Orme. Carrefour de la route du sel, étape de la route du Baroque de la région niçoise, le village comporte de nombreux monuments ecclésiastiques et médiévaux, ainsi que des retables de Ludovico Brea.
Le vieux village est bâti sur un éperon rocheux, qui domine le Paillon. En fond de vallée, il est un carrefour de la route du sel qui mène du port de Nice à la Savoie, en passant par la vallée de la Vésubie. Le village se situe à 650 m d'altitude, à 27 km de Nice par la D 2566.
Le village possède une commune assez vaste, de 65,2 km, qui se découpe en plusieurs hameaux : Peïra-Cava, Saint-Laurent, Les Mounts, les Mortissons, Garibert et le Tournet. Entouré par les communes de Sospel, Moulinet, l'Escarène, Touët-de-l'Escarène, Berre-les-Alpes, Duranus, Coaraze, Utelle et Lantosque, Lucéram est un village de moyenne-montagne de l'arrière-pays niçois.
La commune offre des paysages de maquis, de forêts de pins, de chênes ou de sapins et d'épicéas, notamment vers Peïra-Cava. Les anciennes restanques offrent encore à la vue de nombreux oliviers qui font aujourd'hui partie de l'aire de l'AOC « Huile d'olive de Nice ».
En plein cœur du Pays niçois, la commune de Lucéram fait partie des Préalpes de Nice et compte la Cime de Peïra-Cava (1 581 m) pour point culminant. Ses nombreux maquis et forêts sont soumis à un fort risque d'incendie. En 2003, un incendie a ravagé plus de 2 000 hectares de forêts, notamment entre le col Saint-Roch, le col de l'Orme et le col de Braus. Depuis, la végétation a repris ses droits, et des opérations de replantations d'arbres ont été menées grâce au concours du Prince Albert II de Monaco.
La plus ancienne partie du village fut construite vers le XIII siècle, sur un éperon rocheux appelé le Baous. De nombreuses rues étroites en escalier serpentent depuis la place Adrien Barralis jusqu'au pied de la tour à la gorge fendue, pour la partie haute, et la rue du Docteur Moriez traverse la partie basse.
Lucéram est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3][4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5][6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (47,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5 %), cultures permanentes (2,4 %), zones urbanisées (1,2 %), prairies (0,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
L'origine du nom Lucéram est incertaine :
Au V siècle av. J.-C., arrivée des Ligures qui s'installent à Nice et dans l'arrière-Pays. D'après Louis Durante, Lucéram était la capitale de la peuplade des Lepontii citée sur l'inscription du Trophée des Alpes[11]. C'est une des dernières peuplades vaincues par les Romains dans les Alpes-Maritimes. Ils auraient alors installé un poste militaire à Lucéram pour contrôler le passage sur une voie reliant La Turbie à la vallée de la Vésubie. De nombreuses pièces romaines (monnaies, poteries) sont les traces de cette présence.
Lucéram est mentionnée pour la première fois en 1057 (Lucerammo). Un personnage portant le nom de Luceranus ou Lucerus est cité à cette date.
En 1108, Lucéram est cité comme un lieu fortifié.
Le château de Lucéram est cité en 1156. Il est situé sur un promontoire, près d'une église, peut-être sur le site de la chapelle Saint-Jean.
Romée de Villeneuve intervient en Provence orientale avec le comte de Provence Raimond Béranger IV ou V pour en reprendre le contrôle et lutter contre l'influence grandissante de la république de Gênes qui lutte contre les comtes de Vintimille pour contrôler les villes côtières.
Charles I d'Anjou est comte de Provence, en 1246, par son mariage avec Béatrice de Provence.
Le est signé le traité de Luceram par lequel les comtes Boniface et Georges de Vintimille vendent Breil, Saorge et autres fiefs au comte de Provence Charles I d'Anjou.
Les comtes de Vintimille cèdent leurs droits sur Lucéram au comte de Provence en 1272. C'est probablement à cette date qu'est construite la maison seigneuriale dont on peut encore voir une porte dans le mur nord de l'église Sainte-Marguerite de Lucéram. Le comte de Provence accorde une charte reconnaissant les franchises des habitants de la commune et leur indépendance administrative. Elle forme alors avec les villages voisins de Peille et Utelle une confédération républicaine indépendante.
Les communautés de Belvédère, Breil, La Bollène, Lantosque, La Tour, Lucéram, Peille, Roquebillière, Saint-Martin, Saorge, Sospel et Utelle signent le un accord pour mettre fin à une guérilla et de déprédations avec la communauté de Tende depuis 10 ans.
Après la mort de Jeanne I de Naples, Charles de Duras et Louis Ier d'Anjou s'affrontent. Le , à Lucéram, au cours du consilium generale de la viguerie, Antoine de Castello, notaire de Lucéram, reconnaît Charles Duras, roi de Naples, comme comte de Provence au nom des communautés de l'Escarène, Breil et Saorge. L'Union d'Aix fait sa soumission à Louis II d'Anjou le . Profitant de l'affrontement entre deux prétendants pour le comté de Provence, Jean Grimaldi de Beuil, nommé sénéchal de Provence par Ladislas de Duras, et son frère Ludovic vont comploter pour obtenir un accroissement de leurs fiefs en promettant au comte de Savoie de lui apporter l'allégeance de la partie orientale de la Provence qui avait soutenu Charles de Duras. Le , signature d'une charte entre la communauté de Nice et le comte Amédée VII, puis des autres communautés, à Lucéram, Sospel, le , conduisant à la dédition de Nice à la Savoie, formant les Nouvelles terres de Provence qui ne se sont appelées comté de Nice qu'en 1526. Au moment de cet accord, Lucéram, Levens et Peille ont protesté contre cette réunion en prétextant de l'achat de leur affranchissement à la reine Jeanne. L'hommage définitif de Nice et des autres communautés au comte de Savoie est passé à Nice le . Cependant les communes de Lucéram, Levens et Utelle protestèrent en affirmant qu'ayant été formées en communautés libres par achat de leurs droits à la reine Jeanne elles ne voulaient pas participer à l'hommage définitif au comte de Savoie. Comme ces communautés étaient en position de défendre leurs droits, les représentants du comte préférèrent négocier.
L'accroissement de la population de Lucéram qui se trouve sur la route du sel entre Nice et le Piémont par la vallée de la Vésubie va entraîner la construction de nouveaux remparts pour la protéger. La tour nord-est date de 1395.
Amédée VIII va mener une politique pour contrôler les quatre vigueries des Nouvelles terres de Provence. En 1430 le comte de Savoie obtient l'hommage définitif de Lucéram moyennant la concession de plusieurs privilèges dont celui de la fourniture de sel à moitié prix de celui des autres communes et le droit de porter un couteau d'une palme et demy de lame.
L'ouverture de la route Paganine à l'initiative du fermier des gabelles de Nice Paganino Dalpozzo,, en 1434, va faire passer la route du sel par Levens, Duranus, Cros-d'Utelle, Saint-Martin-Lantosque, et gagner une journée pour atteindre Saint-Martin par rapport à la route passant par Lucéram et le col de Saint-Roch. Les autres routes sont encore soumises aux exactions du comte de Tende pour celle passant par le col de Tende et des seigneurs de Menton et Monaco pour celle passant par le littoral. La route du sel par la vallée de la Roya va se développer après l'acquisition par le duc de Savoie du comté de La Brigue, puis du comté de Tende, le [17], définitive en 1581. Les ducs de Savoie ont acheté la principauté d'Oneille en 1576.
En 1454, après les actions des ducs de Savoie contre les franchises des communautés, les communautés de la viguerie de Vintimille-Val de Lantosque s'adressent au duc Louis I pour lui demander de respecter les libertés des privilèges qui lui ont été accordés par l'acte de dédition du [19].
Une épidémie de peste frappe le comté de Nice, en 1467, qui perd le tiers de sa population.
En 1483, le comte de Savoie envoie un commissaire pour dresser la limite des communautés à Braus, en présence des députés de Sospel, Peille, Touêt et Lucéram.
La chapelle Saint-Grat de Lucéram est décorée vers 1480-1485, probablement par Giovanni Baleison.
La construction de l'église Sainte-Marguerite de Lucéram est entreprise à partir de 1487. En l'année 1504, l'église est « achevée et décorée par les soins de Jean Bonfils, recteur de la paroisse, ainsi que l'indique l'inscription gothique tracée en noir à l'intrados de la voûte », d'après F. Brun.
La peste fait son apparition à Nice en .
Nouvelle épidémie de peste à Nice et dans le comté en 1580 faisant plusieurs milliers de morts.
En 1552, à la demande d'Anne Lascaris, comtesse de Tende, ses vassaux et des troupes de mercenaires s'emparent du château de Saorge. Le gouverneur de Nice envoie des troupes pour reprendre le château qui se sont renforcées des milices de Lucéram, l'Escarène, Sospel et Breil-sur-Roya.
Le un violent tremblement de terre est ressenti à Nice et dans l'arrière-pays.
Grâce à legs fait le , création de l'hospice de Lucéram. Cet hospice ne possède aucun bâtiment mais donne des aides aux nécessiteux.
Nouvelle épidémie de peste à Nice et à Lucéram en 1630-1631
En 1691 une montagne glisse en faisant des destructions à Lucéram.
Après la guerre de la Ligue d'Augsbourg, le besoin d'argent amène le duc de Savoie à vendre des droits. En 1700 in donne une lettre d'inféodation de Lucéram en faveur d'Annibal Cotta.
Le , des troupes franco-espagnoles, les gallispans, franchissent le Var pendant la guerre de Succession d'Autriche. Ils prennent rapidement Nice, mais les troupes austro-sardes ont installé des camps retranchés pour protéger Villefranche où se trouve la flotte anglaise, et le col de Braus. Les troupes françaises s'avancent sur Peïra-Cava pour menacer la route du col de Tende. Les troupes austro-sardes se sont alors retirées sur Breil permettant aux troupes gallispanes d'attaquer le camp retranché de Villefranche dont les troupes sont évacuées par l'escadre anglaise vers Oneille. En 1746, les troupes franco-espagnoles sont battues à Plaisance entraînant une retraite sur le comté de Nice. Les combats se concentrèrent sur le littoral entre 1746-1747. La paix revient avec la signature du traité d'Aix-la-Chapelle.
Supplique de Louis Isnardi et d'Annibal Cauvin en 1766 pour rétablir un mont-de-piété à Lucéram.
Construction de la chapelle Saint-Pierre de Lucéram, en 1780.
La commune de Lucéram demande en 1785 de retirer du mont-de-piété et de l'hôpital des sommes pour les distribuer aux particuliers qui se trouvent réduits à la misère.
En 1792, les troupes françaises envahissent le comté de Nice. Après la prise de Nice, les combats vont se porter sur l'arrière-pays pour prendre des forts de Saorge. Une forme de guérilla est faite par les barbets. Les combats durent jusqu'en 1800. Après la chute de Napoléon I, le comté de Nice retourne à la Maison de Savoie, en 1814.
Rattachement du comté de Nice à la France, sauf Tende et La Brigue, en 1860.
Début de la construction de la caserne de Peïra-Cava en 1876.
, le séisme ligure fait de nombreux dégâts à Lucéram.
Première compétition de ski à Peïra-Cava en 1909 organisée par la section de Nice du Club alpin français présidée par le comte Victor de Cessole.
Le pont du Vergier est inauguré en 1931.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2020, la commune comptait 1 279 habitants, en augmentation de 3,4 % par rapport à 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Le village des Paillons a fait de l'exposition de ses crèches une tradition depuis plus de 18 ans. La tradition fut lancée par Christiane Ricort en collaboration avec plusieurs associations et les habitants de la commune pour Noël 1998[34]. Cette coutume perdure encore aujourd'hui attirant chaque année des milliers de curieux qui arpentent les rues du village.
L'économie lucéramoise est fondée principalement sur le tourisme et quelques activités artisanales. Grâce à son patrimoine et ses nombreux monuments, son circuit des crèches et le plateau de Peïra-Cava, le village bénéficie d'aménités touristiques notables. Il est classé « commune touristique » depuis 1924 et a obtenu en 2012 une fleur au classement du Concours des villes et villages fleuris.
Cependant, les activités agricoles n'ont pas totalement disparu. Un moulin à huile demeure aux Mounts, et une ferme-auberge, la Gabelle, perpétue la tradition agro-sylvo-pastorale de l'arrière-pays niçois.
Tableau issu des données de l'INSEE, fondé sur les 121 établissements recensés au :
Lucéram est-elle une ville-dortoir de la banlieue de Nice ? Lucéram se situe aux confins de l'espace périurbain de la Métropole Nice Côte d'Azur bien que faisant partie d'une autre intercommunalité. La commune de Lucéram ne compte que 157 emplois salariés ou non-salariés sur son territoire.
Clean Cuve
Zone d'intervention
Clean Cuve intervient dans les Alpes-Maritime (06) et le Var (83) auprès des particuliers, professionnels et collectivités.
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