Entreprise experte en Neutralisation cuve à fioul aux environs de Trans-en-Provence
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Les cuves fioul abandonnées temporairement ou définitivement représentent un danger environnemental et un risque sanitaire majeurs en raison de leur potentiel élevé de fuites, et ont été qualifiés de « bombe à retardement ». Si votre cuve à fioul à Trans-en-Provence ne vous est plus utile, si elle est endommagée, ou encore si elle est ancienne, il faut faire appel au service de cuve à fioul à Trans-en-Provence. L’entreprise spécialisée en cuve à fioul près de Trans-en-Provence se charge du nettoyage, du dégazage, de la neutralisation, du démantèlement et de l’enlèvement de la cuve à fioul. Les fuites de fioul peuvent sembler petites et insignifiantes à certains moments, que vous pouvez remarquer grâce à des taches d’huile, des odeurs de pétrole. Les fuites peuvent être non apparentes dans le cas des cuves à fioul enterrées. Cependant, elles peuvent constituer une menace extrême pour l’environnement et la santé publique. Une cuve à fioul vers Trans-en-Provence en service doit être obligatoirement doit passer par le nettoyage et le dégazage.
Retrait, démantèlement ou découpe cuve à fioul près de Trans-en-Provence
Avec le temps, votre cuve à fioul peut s’user et vous laisser avec un système de chauffage qui ne fonctionne pas aussi bien qu’il le devrait. En moyenne, la plupart des réservoirs de mazout domestique durent dix ans, ce qui signifie que vous devrez probablement le remplacer à un moment donné. Les « boues » sont un phénomène que l’on observe avec tout type de pétrole qui est laissé en stockage pendant de longues périodes. Avec le temps, le pétrole est exposé à des éléments simples comme l’air, la lumière, la chaleur, l’eau et les éléments catalytiques. Des réactions chimiques se produisent dans tout mazout de chauffage, provoquant la formation de molécules plus grosses et plus grandes jusqu’à ce qu’elles se transforment en boues hydrocarbures. Ces boues se déposent au fond de la cuve à fioul domestique. Un nettoyage de la cuve est indispensable pour un meilleur fonctionnement. Avant de dégazer votre ancien réservoir, notre équipe formée nettoiera soigneusement le réservoir afin de s’assurer que tous les matériaux inflammables et dangereux pour l’environnement sont retirés. En tant qu’entreprise expérimentée en cuve à fioul Trans-en-Provence, nous sommes là pour vous aider à l’entretenir et le nettoyer. Pour en savoir plus sur nos services, veuillez nous contacter.
Pompage cuve à fioul vers Trans-en-Provence
Vous envisagez de neutraliser votre cuve à fioul et vous recherchez un professionnel qui peut assurer ce service sur Trans-en-Provence. Notre entreprise Clean Cuve intervient dans la région. Les solutions de neutralisation que nous proposons sont fiables et garanties. Sachez toutefois que votre cuve à fioul doit obligatoirement être soumise à une vidange, un nettoyage approfondi et un dégazage avant qu’elle puisse être neutralisée. Nous pouvons nous en charger si vous ne les avez pas encore confiés à d’autres professionnels. Clean Cuve vous laisse le choix entre une neutralisation par comblement avec du sable, du béton, de la terre ou de la perlite. Si vous envisagez une mise hors service définitive du réservoir, vous pouvez choisir pour le béton. Par contre, si la neutralisation n’est que provisoire et que vous prévoyez une réutilisation de la cuve pour plus tard, optez pour le sable, la terre ou la perlite. Une fois votre choix fait, nous faisons venir le matériau par camion jusqu’à votre propriété. Puis, nous le déversons dans la citerne jusqu’à ce que celle-ci se remplisse. Nous terminons l’opération par la fermeture de la cuve. Nous vous remettons un certificat de conformité et un bordereau de suivi des déchets (si le nettoyage a été réalisé par notre équipe).
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Les services Neutralisation cuve à fioul que nous proposons
- Nettoyage et de vérification de votre cuve à fioul vers Trans-en-Provence
- Dégazage
- Vidange
- Pompage de la boue hydrocarbures
- Neutralisation au sable/à l’eau
- Démantèlement
- Reconversion
- Enlèvement ou découpage
- Tests d’étanchéité
- Pompage et stockage dans camion ADR
- Évacuation des déchets en centre de traitement agréé
Trans-en-Provence partons à sa découverte
Trans-en-Provence [tʁɑ̃s ɑ̃ pʁɔvɑ̃s] est une commune française située dans le département du Var, en région française Provence-Alpes-Côte d'Azur.
La commune de Trans-en-Provence se trouve directement au sud-est de Draguignan, sous-préfecture du département du Var. La commune fait partie de la communauté d'agglomération Dracénie Provence Verdon agglomération.
La ville et les villages les plus proches de Trans-en-Provence sont : Draguignan (sous-préfecture) à 4,5 km, par la route D 1555, Les Arcs à 5 km, par la route D 1555 et La Motte à 5,5 km, par la route D 47.
Sa latitude est de 43,503 degrés nord et sa longitude de 6,487 degrés est. Ses coordonnées géographiques, en degré-minute-seconde, calculées dans le système géodésique WGS84, sont : 43° 30' 12" de latitude nord et 6° 29' 10" de longitude est. En Lambert-93 du chef-lieu, ses coordonnées géographiques sont : X = 9 820 hectomètres Y = 62 734 hectomètres.
Trans-en-Provence est limitrophe de seulement trois autres communes :
La commune de Trans-en-Provence s’étend sur une superficie de 16,99 km, soit 1 699 hectares.
Elle se trouve aux confins de la zone pyrénéo-provençale, bien définie dans le Var par les massifs des Maures et de l'Esterel.
L'altitude minimum et maximum du village est respectivement de 100 m et 272 m, avec une altitude de 140 m, au niveau de la place de l'Hôtel-de-Ville.
La rivière qui la traverse est la Nartuby, affluent de l'Argens.
Autres cours d'eau sur la commune ou à son aval :
La commune a les mêmes caractéristiques climatiques que sa voisine, Draguignan (se reporter à l'article de celle-ci). Elles correspondent aux conditions normales du climat méditerranéen ; les nuits de gels étant peu nombreuses (une dizaine par an, mais les journées sans dégel sont quasi inexistantes), faibles (le minimum annuel se situe aux alentours de -5, -6 °C) et brèves.
Les hivers sont doux et humides, et les étés chauds et secs, car le village est protégé des vents par les collines environnantes.
Durant l'été, les précipitations sont extrêmement faibles. À l'inverse, l'automne est une période soumise à de fréquentes pluies.
Il existe trois zones de sismicité dans le Var :
La commune de Trans-en-Provence est en zone sismique de très faible risque « Ia ».
La commune de Trans-en-Provence est reliée, par la D 1555, à l'autoroute A8 (échangeur n 36 au Muy, à 7 km).
Par l'autoroute A8, elle est située à 53 km de Cannes (Alpes-Maritimes), à 82 km de Toulon (préfecture du Var - 83), à 86 km de Nice (Alpes-Maritimes), à 106 km de Monaco Monte-Carlo, à 107 km d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), à 138 km de Marseille (Bouches-du-Rhône) et en enchainant avec l'autoroute A7 et A6, à 866 km de Paris.
La gare la plus proche est celle des Arcs-Draguignan, située à 7 km. Elle est desservie par le TGV et le TER. Des navettes en bus ont été mises en place par la communauté d'agglomération, entre Trans-en-Provence et la gare des Arcs-Draguignan.
Les aéroports les plus proches sont ceux de Nice Côte d'Azur (Alpes-Maritimes) à 77,7 km et de Toulon-Hyères (Var) à 87,3 km, par l’autoroute A8.
Les bus de la ligne 5 des Transports en Dracénie relie la commune à Draguignan.
Trans-en-Provence est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.
Elle appartient à l'unité urbaine de Draguignan, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[6] et 68 524 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Draguignan dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9][10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (41 %), zones agricoles hétérogènes (26,4 %), zones urbanisées (21,9 %), cultures permanentes (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme, et relève du schéma de cohérence territoriale de la Dracénie[15].
La commune se nomme Tranç en provençal de norme classique et Trans en provençal de norme mistralienne. La prononciation locale est /traŋs/.
Il s'agit, à l’origine, de plusieurs villages répartis le long de la rivière Nartuby. En effet, à cet endroit, la rivière connait plusieurs chutes dues à une forte déclivité. La force hydraulique récupérée grâce à plusieurs barrages, moulins et aménagements hydrauliques à différents endroits a permis différents foyers primitifs. Plusieurs églises à vocation paroissiale ont été construites. Outre l'église principale, on peut citer l'ancienne paroisse Saint-Roch-et-Notre-Dame. Un autre site était implanté sur la colline Saint-Victor et son déplacement a donné le nom de Trans (trans, en latin, signifie au-delà). Le nom apparaît en 1004, dans des actes du cartulaire de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille.
Mais longtemps le village fonctionnera comme quatre entités autonomes. Les gains des activités produites par les moulins à eau sont considérables. Rivalités, jalousies et divisions des familles propriétaires du foncier ont perpétué l'éclatement du village au cours des siècles. Par exemple, l'église Saint-Roch (aujourd'hui chapelle) sera agrandie et reconstruite en 1680 ce qui renforcera le bourg de Saint-Roch, de fait autonome, par rapport au nouveau bourg de Trans.
De nos jours, on peut encore voir cette division territoriale dans l'architecture du village. La taille des lieux de culte était disproportionnée pour un village ne comptant même pas un millier d'habitants. Quatre églises indépendantes dominaient les bourgs ou anciennes paroisses suivantes :
Sur la carte IGN, on retrouve le nom des anciennes paroisses transformées aujourd'hui en quartiers. La topographie actuelle indique : "St-Roch", "Le Bosquet" et "St-Victor".
À la fin du XII siècle, le village faisait partie du domaine direct du comte de Provence qui le donne en fief, en 1200, à Giraud de Villeneuve. De cette date jusqu’en 1789, les membres de la famille de Villeneuve seront seigneurs de Trans. Au XIVe siècle, la demeure du seigneur est transformée en château fort.
En 1348, la peste noire fait des ravages et la population du village diminue et n’augmentera à nouveau qu’un siècle plus tard. Le village se transforme avec la naissance et le développement de la culture de l’olivier. Une procédure des habitants contre le seigneur aboutit à une transaction.
Au milieu du XVI siècle, le village compte 500 à 600 habitants. En 1506, Louis de Villeneuve reçoit du roi Louis XII le titre de marquis de Trans pour sa conduite et les services rendus à la Couronne pendant les guerres d’Italie: c'est le plus ancien titre de marquis de France. Au cours de la lutte entre François Ier et Charles Quint, Trans est envahie deux fois et reste fidèle au roi de France. Un nouveau litige se déclare entre le seigneur et les Transians. Puis ce fut la période de la guerre de Religion au cours de laquelle le village sera pillé par le parti carciste (catholiques), puis les Razats (opposants) feront le siège du château. Le château du marquis de Trans est enlevé par les protestants en 1579. Le village échappe à une nouvelle épidémie de peste à la fin du siècle. La guerre reprend et durera une dizaine d’années ; elle fut extrêmement violente et ruineuse pour le village.
Au XVII siècle, la culture de l’olivier se développe encore ; un deuxième moulin à huile est construit et un troisième en projet ce qui permet d’améliorer le sort de ses habitants. Le marquis ne réside plus dans le village ; il occupe des fonctions dans l’armée ou la marine. Au début du XVIIe siècle, Trans connaît les affres de la guerre et, en 1709, un terrible hiver qui va geler les oliviers plonge le pays dans la misère. En 1720, la peste menace à nouveau le village. À nouveau, en 1746, des troupes occupent les lieux. En 1730 est créée la première filature de soie. Le marquis et les villageois s’opposent encore dans un litige : c’est l’époque des « temps orageux ». Dans la deuxième partie du siècle, Trans connait une certaine prospérité (construction d’un 6 moulin à huile), mais aussi des années difficiles dans la décennie 1780 et voit sa population s’accroître (1 200 habitants en 1789) ; le village se transforme (hôtel de ville, agrandissement de l’église, nouveau pont sur la Nartuby). Les Transians adhèrent à la Révolution. Il n’y a pas de violence ni de malveillance au cours des années difficiles.
Le début du XIX voit le retour de l’ordre et du calme, mais des jours sombres surviennent : mauvaises récoltes, conscriptions mal acceptées qui génèrent mécontentement et misère. La misère va durer jusqu’au milieu du siècle. La seconde partie du XIXe siècle est une période de transformations : développement industriel et commercial ; production d’huile d’olive (quatorze moulins sur le territoire de la commune), scieries, minoterie ; arrivée du chemin de fer (1864), création d’une usine électrique. Le développement de l’activité attire une main-d’œuvre en provenance d’Italie. La population atteint un maximum en 1872 : 1 611 habitants. À la fin du siècle, la crise agricole entraîne un déclin (concurrence des huiles étrangères). La population décroît. La République est chaleureusement accueillie en 1870 et la majorité des électeurs va se situer à gauche jusqu’en 1914.
Après la Grande Guerre, le déclin du village se poursuit. Le village compte 823 habitants en 1921, son point le plus bas. Une nouvelle vague d’immigration dans les années 1920-1930 permet à la population d’augmenter. L’opinion politique reste à gauche. Dans le domaine économique, les activités agricoles s’affaiblissent et les industries disparaissent progressivement. En 1956, le gel des oliviers met un terme à la principale activité agricole.
La croissance de la population commence dans les années 1960 et s’accélère dans les années 1970, pour atteindre 5 531 habitants en 2010. Elle est principalement composée de retraités, militaires, employés de l’administration et du commerce. L’opinion politique se modifie : majoritairement à gauche jusqu’en 1981, elle bascule franchement à droite après cette date. Puis à l'extrême-droite à partir de 2015 (plus de 55 % des voix pour le Front-National aux élections régionales) et plus de 57 % aux présidentielles[21].
La commune a été victime de deux inondations catastrophiques, le , et le (4 morts)[23].
La commune fait partie de l'aire urbaine de Draguignan.
De 1871 à 1936, le clivage entre la Droite et la Gauche se situe, dans un premier temps entre les monarchistes et bonapartistes, d’une part, et les républicains[25], d’autre part ; puis, entre la défense de la religion et l’anticléricalisme, ; enfin, d’un côté, le socialisme et le communisme, face à leurs adversaires.
À travers les résultats des élections à Trans, il est possible de distinguer trois périodes successives au cours de la Troisième République, régime politique de la France de 1870 à 1940 :
De 1945 à 1981, la gauche capte la majorité des voix (mise à part, paradoxalement, la présidentielle de 1981 !). Depuis 1984, les Transians votent en faveur de la droite.
En 69 ans, la répartition s’est inversée : en 1945, la droite est très faible à Trans, la gauche obtient 88 % des suffrages exprimés. En 2014, la gauche n’obtient plus que 18 % des voix, mais la Droite parvient à 82 % et se maintient au-dessus de 65 % depuis 2004 ; de plus, l’alternative droite-gauche n’est plus le seul choix possible.
Sauf pour les élections de l'assemblée constituante de 1945 et celles de 1946, le vote communiste devance le vote socialiste au cours de la période 1946-1956 ; après cette date, le PC conserve une forte proportion des voix jusqu’en 1979.
À partir de 1984, l’opinion exprimée par les Transians bascule à droite ; le vote FN prend de l’importance et s’installe durablement dans le paysage électoral du village jusqu'à obtenir la majorité absolue des suffrages au 1 tour des élections régionales de 2015[28].
(Source Ministère de l'Intérieur - élections législatives, élections présidentielles, élections européennes, élections régionales)
Trans-en-Provence fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-communauté d'agglomération Dracénoise) qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan de 110 014 habitants en 2017[32], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2017 sont (par ordre alphabétique) :
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi :
Avec les taux de fiscalité suivants :
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 790 €.
La commune dispose d'une station d'épuration.
Trans-en-Provence est officiellement jumelée, depuis 2006, à la commune de Gamlitz, en Autriche.
Cette charmante bourgade autrichienne, d’une superficie de 34,5 km, est située à 278 mètres d’altitude et compte un peu plus de 3 000 habitants. Profitant d’un climat doux et méditerranéen, elle est la plus grande commune viticole de la Styrie (district sud de Leibnitz), avec plus de 550 hectares de vignobles et environ 180 domaines viticoles. Sa production de vins est mondialement connue.
À l’entrée sud du village de Trans-en-Provence, une fresque réalisée par Philippe Makabrou orne la fontaine du rond-point Gamlitz et symbolise ce jumelage.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 5 983 habitants, en augmentation de 6,67 % par rapport à 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Établissements d'enseignements :
La commune de Trans-en-Provence possède plusieurs fédérations et infrastructures sportives : gym, foot, basket, tennis, pétanque, pêche… Elle met aussi à la disposition des différentes associations culturelles et clubs sportives transians, diverses salles communales tout au long de l'année.
La proximité de la ville de Draguignan permet d'avoir accès à un plus large éventail de loisirs et activités sportives, tels que la natation, l'équitation, le rugby, le hand-ball, les sports de glisse et de combat, la danse…
La commune a droit à trois AOC, pour son huile d'olive de Provence et pour ses vins Côtes-de-provence et côtes-de-provence Fréjus.
Coopérative vinicole La Transiane.
Ce village provençal est au centre d’un vaste bassin touristique et aux abords de nombreux sites renommés, comme : le Rocher de Roquebrune (Var) à 18 km, par la route D 25, Les pittoresques villages du Haut-Var (Tourtour, Entrecasteaux, Sillans-la-Cascade, Aups…) à moins de 20 km, par la route D 557, L’abbaye du Thoronet (Var) à 30 km, par la route DN 7, les plages de Fréjus-Saint-Raphaël (Var) à 27 km et celle des Issambres (Var) à 35 km, par la route D 7, Saint-Tropez (Var) à 43 km, par la route D 25, le lac de Sainte Croix (Var et Alpes-de-Haute-Provence) à 48 km, par la route D 49, les gorges du Verdon (Var et Alpes-de-Haute-Provence) à 55 km, par la route D 54, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (Var) à 72 km, par la route par N 555 et le plateau de Valensole (Alpes-de-Haute-Provence) à 79 km, par la route D 557.
L'office du tourisme de Trans-en-Provence se situe à l'entrée sud du village, après le rond-point Gamlitz.
En comparaison avec les villes côtières de la Côte d'Azur et malgré sa position géographique, entre mer et montagne, l'impact touristique sur la commune de Trans-en-Provence reste moyen, pour ne pas dire faible. Le village et la CAD continuent néanmoins à offrir un large choix d'infrastructures hôtelières et de restauration : hôtel, locations estivales, chambres d'hôtes, camping, restaurant, snack…
L'environnement paisible de la région, le développement des commodités et la proximité de grands axes touristiques, a toutefois permis de fidéliser un certain tourisme familial et l'essor des résidences secondaires.
Trans-en-Provence comporte trois édifices protégés comme monuments historiques :
Parmi les lieux de culte de la commune :
Autres lieux et monuments :
Le , Renato Nicolaï, ouvrier à la retraite de 52 ans et habitant de Trans-en-Provence, déclare avoir vu un ovni ayant la forme « de deux assiettes renversées l'une contre l'autre » se poser en contrebas de son jardin. Craignant le ridicule, il en parle à son épouse, laquelle en parle autour d'elle, suscitant par la suite une enquête de gendarmerie.
L'affaire de Trans-en-Provence a fait l'objet également d'une enquête de la part du GEPAN. Le manque de sérieux de cette enquête a été vivement critiqué par les sceptiques. L'explication considérée comme la plus plausible pour ce cas aujourd'hui est que le témoin a menti pour créer un canular à l'intention de ses voisins[72], et que la trace physique prétendument laissée par l'engin extraterrestre était en réalité un ripage de pneu.
Clean Cuve
Zone d'intervention
Clean Cuve intervient dans les Alpes-Maritime (06) et le Var (83) auprès des particuliers, professionnels et collectivités.
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