Entreprise spécialisée en Vidange cuve à fioul aux alentours de Villefranche-sur-Mer
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Si votre propriété possède une certaine quantité de mazout toujours stocké dans la cuve et que vous ne prévoyez plus de l’utiliser, le mazout doit être retiré du réservoir de stockage et celui-ci doit être correctement dégazé. Une entreprise spécialisée en cuve à fioul à proximité de Villefranche-sur-Mer sera en mesure de pomper le fioul restant et de procéder au nettoyage et au dégazage de la cuve. Si vous souhaitez utiliser du fioul domestique provenant d’un ancien réservoir de stockage de fioul, en fonction de son âge et des conditions de stockage qui peuvent être acceptables, l’eau ou les autres contaminants qui peuvent être présents doivent être éliminés. Cela risquerait d’altérer la qualité du combustible. Le dégazage, la neutralisation ou l’enlèvement d’une ancienne cuve à fioul près de Villefranche-sur-Mer sont une belle alternative pour s’en débarrasser en toute sécurité. Cela nécessite des manipulations délicates, qui doivent être réalisées par un professionnel, dans le respect des normes en vigueur et des règles techniques et de sécurité strictes. Les processus de traitement des cuves à fioul sont compliqués, c’est pourquoi il est toujours préférable de faire appel à notre équipe d’experts en cuve à fioul à Villefranche-sur-Mer.
Entretien cuve fioul aux environs de Villefranche-sur-Mer
Avant toute manipulation d’une cuve à fioul Villefranche-sur-Mer, il faut d’abord procéder à son nettoyage et à son dégazage. La cuve est purgée du fioul restant, et nettoyée pour éliminer tous les résidus et dépôts sur les parois et dans le fond. Grâce au nettoyage et au dégazage de la cuve, les vapeurs de fioul en suspension seront éliminées, ce qui réduit les risques d’explosion ou d’altération de la qualité du fioul lors d’une prochaine livraison. Le dégazage doit être exécuté pour une durée de 48 h suivie de la découpe ou la neutralisation de la cuve. II faut éviter tous risques d’explosion que peuvent occasionner les gaz en suspension dans les cuves à fioul qu’elles soient pleine, à moitié ou vide. Privilégiez votre sécurité en faisant appel à un professionnel sur Villefranche-sur-Mer rapidement. Il est déconseillé de réparer vous-même vos cuves fioul : vous pourriez aggraver la situation, déclencher un incendie, déversement, fuite de gaz, etc. Un spécialiste cuve fioul Villefranche-sur-Mer connaît les gestes à effectuer pour travailler en toute sécurité, ainsi que les normes en vigueur à respecter. Le certificat de dégazage n’est valable que 48h en raison d’éventuelles émanations de vapeur qui peuvent refaire surface dans la cuve avec les risques d’inflammabilité et d’explosivité. Une fois le dégazage terminé il faut procéder à la suite des opérations, une neutralisation ou un démantèlement.
Neutralisation de votre cuve à fioul aux alentours de Villefranche-sur-Mer
Vous habitez à Villefranche-sur-Mer ou ses environs. Vous n’utilisez plus votre cuve à fioul enterrée et vous souhaitez la faire neutraliser. Dans ce cas, permettez aux professionnels de chez Clean Cuve de s’en occuper. La réalisation de cette opération requiert l’utilisation d’équipements spécifiques et de matériaux comme du sable ou du béton. Une fois les étapes obligatoires (vidange, nettoyage et dégazage) franchies, nos techniciens peuvent neutraliser votre cuve à fioul en toute sécurité. Pour ce faire, nous comblons tout l’espace interne de votre réservoir avec du sable ou du béton que nous transportons par camion jusqu’à votre propriété. Cette inertage permet de rendre la citerne inutilisable définitivement ou provisoirement selon le matériau de remplissage choisi.
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Les services proposés par Cleancuve à proximité de Villefranche-sur-Mer
- Nettoyage et de vérification de votre cuve à fioul aux environs de Villefranche-sur-Mer
- Dégazage
- Vidange
- Pompage de la boue hydrocarbures
- Neutralisation au sable/à l’eau
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- Enlèvement ou découpage
- Tests d’étanchéité
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- Évacuation des déchets en centre de traitement agréé
Villefranche-sur-Mer une belle ville méditerranéenne
Villefranche-sur-Mer (Vilafranca de Mar en provençal, Villafranca en nissart, Villafranca en italien) est une commune française, limitrophe de Nice, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Villefranchois, comme dans la plupart des communes portant le nom de Villefranche, et lu Vilafranquié en niçois. Par dérision, ils avaient aussi reçu le sobriquet de Suça-carouba.
Villefranche-sur-Mer est située sur la Côte d'Azur, entre Nice et Monaco, au bord de la mer Méditerranée.
Séparée de Nice dont elle est limitrophe par le mont Boron, le mont Alban et le mont Vinaigrier et distante d’environ 10 km de Monaco, la ville s’étale en gradin sur les flancs de la rade de Villefranche, un des mouillages naturels les plus profonds de la Méditerranée occidentale.
Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.
La superficie de la commune, située sur l'aire du Parc de la Grande Corniche, est de 488 hectares ; son altitude varie entre 0 et 575 mètres.
La rade de Villefranche offre un mouillage sûr à l’abri des vents d’est et accueille de nombreux navires de croisière. Avec une profondeur moyenne de 17 m, elle atteint 95 m à son entrée et se prolonge au large à environ un mille par le canyon de Villefranche, un abysse de plus de 500 m au large de la baie des Anges.
Les limites de la commune s’étendent aux collines avoisinantes passant du niveau de la mer à 577 mètres au mont Leuze, son point culminant, le relief terrestre reflétant ainsi les fonds sous-marins.
Villefranche-sur-Mer dispose de la station d'épuration intercommunale de Nice d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants.
Villefranche-sur-Mer, nichée au fond de sa rade, jouit d'un climat très doux : De hautes falaises l'abritent des vents d'est, d'ouest et de nord. Le sud, ouvert au large est malgré tout protégé par l'étroitesse de la rade, sauf durant de rares mais spectaculaires coups de vent d'hiver.
Villefranche-sur-Mer est traversée par les trois Corniches, trois routes principales menant de Nice à Monaco et Menton vers la frontière italienne, offrant des panoramas sur le littoral.
La commune est traversée par la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille et est desservie par une gare.
Des liaisons par autocar avec les principales villes de la Route du bord de mer de la Côte d'Azur, (Nice en particulier) sont effectuées régulièrement dans le cadre des transports du Département.
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme.
La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le .
Villefranche-sur-Mer est une commune urbaine,. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8][9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[11][12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13][14].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16][17].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (60,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (26,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (57,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,9 %), forêts (12 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), eaux maritimes (0,9 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 5 150, alors qu'il était de 5 123 en 1999.
Parmi ces logements, 53,8 % étaient des résidences principales, 39,7 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 25,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 74,5 % des appartements.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 59,5 %, en hausse sensible par rapport à 1999 (53,7 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 3,1 % contre 3,6 % en 1999, leur nombre ayant nettement diminué de 115 à 86.
Par décret du , Journal officiel du avec effet au , Villefranche devient Villefranche-sur-Mer.
Le nom de la commune en italien Villafranca ou Villafranca Marittima, (gentilé : Villafranchesi), fut notamment en usage sous la Restauration savoisienne. Il est Vilafranca de Mar en nissart.
La rade de Villefranche est fréquentée dès l'Antiquité par les marins grecs et romains. Ceux-ci s'en servent comme mouillage et lui donnent le nom d'Olivula Portus. Le site est cependant victime d'attaques barbares répétées. Au IX siècle, les pirates sarrasins tenaient à l'emplacement de Villefranche-sur-Mer une forteresse[25]. Les habitants délaissent le bord de mer et se réfugient sur les hauteurs ; ils y fondent un autre village, Montolivo.
En 1295, Charles II d'Anjou, comte de Provence, comprend l'importance stratégique de ce site, situé aux frontières de son territoire. Afin d'encourager les habitants à revenir peupler le bord de mer, il leur octroie une franchise de taxes. Le village est ainsi baptisé Villa Franca.
Daniel Marquesani fut un familier du roi Robert ; il connut une ascension rapide puisque de simple notaire immigré à Nice à la fin du XIII siècle[26], il devint coseigneur de La Turbie (1329-1331) puis seigneur de Coaraze et Castellan à vie de Villefranche. Raymond Marquesani succéda à son père comme castellan de Villefranche et son frère, Louis, hérita de la seigneurie de Coaraze. Le , il acheta tout ce que le damoiseau Boniface Chabaudi, seigneur de Roquebrune possédait dans les territoires de Roquebrune, Palayson et Villepey[28].
Lors de la dédition du Comté de Nice au Duc de Savoie, en 1388, Villefranche est dédiée au duché de Savoie. La ville devient ainsi la seule porte maritime des États de Savoie jusqu'à la construction du port de Nice au XVIII siècle et tire ses revenus de tous les navires marchands accostant au port (droit de Villefranche).
À la suite de l'occupation, en 1543, de la rade de Villefranche par la flotte franco-turque commandée par Khayr ad-Din Barberousse, le duc Emmanuel-Philibert de Savoie (1528-1580) ordonne sa fortification.
Le duc Emmanuel-Philibert ne possédait plus que Verceil et le comté de Nice au début de son règne, en 1553. Il s'est engagé au côté de l'Espagne de Philippe II. Il a gagné la bataille de Saint-Quentin, le . Il a retrouvé son duché de Savoie en 1559, à la signature du second traité de Cateau-Cambrésis. Il décide de s'engager dans la lutte opposant le monde chrétien et l'Empire ottoman en Méditerranée. Les conflits annuels peuvent opposer des flottes de deux cents à trois cents galères. Pour participer à ce conflit, il décide de faire de Villefranche un port bien protégé permettant de construire et d'entretenir des galères. Le fort du mont Alban, le fort de Saint-Hospice et la citadelle Saint-Elme sont ainsi construits. Cette dernière sera achevée en 1557. Une première flotte de guerre est construite dans le port de la Darse.
Les Français occupent le comté de Nice plusieurs fois entre 1710 et 1722 et à nouveau en 1744, pendant la guerre de Succession d'Autriche, quand le prince de Conti prend d'assaut le mont Alban avec ses troupes franco-espagnoles, chassant les Savoisiens de Charles-Emmanuel III. Au cours du XVIII siècle, la ville perd de son importance maritime et portuaire avec la construction du port Lympia de Nice.
En 1793, les troupes françaises révolutionnaires envahissent à nouveau le comté de Nice et Villefranche en Piémont passe sous administration française jusqu'en 1814 qui verra le retour à son statut particulier sous dédition et protection du duc de Savoie.
En 1856, le duc de Savoie donne à bail le lazaret de Villefranche à la marine impériale russe qui fera du port une base navale de premier plan pour ses navires en Méditerranée, notamment l'année suivante, avec le ravitaillement en charbon des bateaux. Cette arrivée provoquera la construction d'infrastructures importantes par Victor Emmanuel II, notamment la route de la rade.
Au XVIII siècle, la seigneurie de Villefranche fut attribuée aux Germano, avec érection en comté (1700), aux Auda (1743), puis aux Dani (1743).
En 1705, la ville est prise par les troupes françaises du maréchal de La Feuillade qui assiège également Nice
À la suite de l'entrée en guerre de la France contre l'Autriche et la Prusse, en avril 1792, Villefranche-en-Piémont est prise, le , par le général D'Anselme, après la reddition sans combat du gouverneur François Daviet de Foncenex, lui permettant d'être entièrement maître du comté de Nice.
Elle remonte à la fin du XVIII siècle et a fait preuve depuis d'une originale constance. L'intérêt stratégique de la rade de Villefranche n'avait pas échappé aux autorités maritimes russes de l'époque qui y mouillaient à chaque conflit avec la Turquie. Elle leur devient essentielle quand, au lendemain de la guerre de Crimée en 1856, la Marine impériale russe est privée d'accès à la Méditerranée par le Bosphore : le duc de Savoie, roi de Chypre, de Jérusalem et de Sardaigne qui est aussi vicaire impérial pour toute l'Europe méditerranéenne accepte alors de céder à la Russie le lazaret et la Darse de Villefranche qui lui servent de dépôt à vivres et à combustibles. La rade de Villefranche devient alors le port d'attache de la noblesse impériale en villégiature dans les états de Savoie, ce qui durera encore un peu après malgré l'annexion du comté de Nice par les autorités françaises en 1860. En 1893, une équipe de scientifiques russes de Kiev remplace les militaires pour pratiquer des recherches océanographiques en profitant de la présence d'un courant ascendant de la rade. Ces études, malgré les aléas politiques entre les deux nations, se poursuivent jusqu'aux années 1930.
En 1860 le Comté de Nice est à nouveau annexé à la France à la suite du Traité de Turin et du plébiscite (contesté par les nationalistes niçois en raison de preuves avérées comme, entre autres, la présence du seul bulletin oui, le bourrage des urnes, l'interdiction de vote pour certains Niçois, la surveillance du vote par les militaires français).
Jusqu’en 1891, Beaulieu, et jusqu’en 1904, Saint-Jean, font partie de Villefranche dont elles se détachent pour prendre leur autonomie municipale.
Lieu de villégiature prisé dès 1816 par les aristocraties russe et anglaise, la rade de Villefranche abrite la sixième flotte des États-Unis à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre de l’Organisation du traité de l'Atlantique nord entre 1945 et 1966.
Villefranche-sur-Mer n'est plus aujourd’hui le premier port de croisière de France, dépassé par Marseille depuis 2008.
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29.
La commune relève, pour partie, de la loi relative à l'aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral, dite loi littoral.
Au , Villefranche-sur-Mer est jumelée avec :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2020, la commune comptait 5 002 habitants, en diminution de 4,16 % par rapport à 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Établissements d'enseignements :
Professionnels et établissements de santé :
De nombreuses activités sportives sont pratiquées à Villefranche sous l’égide de l’Union Sportive de Villefranche (U.S.V.), association multisports.
La pratique de la voile ou de l’aviron s’effectuent au sein du Club de la Voile ou du Club d’aviron, tous deux implantés dans le port de la Darse.
En 2014 une épreuve nautique alliant la nage, le paddle et l'aviron a été créée en rade de Villefranche : le "Triathlon des Mers"
Depuis , la Darse de Villefranche-sur-Mer est le port d'attache de la réplique historique d'une embarcation de 1796 : la yole de Bantry Laïssa Ana. Gérée par une association locale et naviguant toute l’année, la Yole accueille volontiers de nouveaux équipiers pour des initiations.
De nombreux pointus traditionnels sont regroupés dans la Darse par l’Association des Bateliers – Plaisanciers de Villefranche (ABPV) qui organise chaque automne une série de régates, la « Resquilhada ».
La liste détaillée des associations sportives locales se trouve sur le site de la Ville.
L'aéroceanaute Stephane Rousson installé depuis 2010 au port de la Darse, effectue régulièrement les essais de ses véhicules dans la rade que ce soit avec ses sous-marins Scubster, ou ses ballons à propulsion humaine comme le Zeppy en [50], et la restauration de la pilotine Trait-d'union de 1948.
La Villefranche Paddle race fait partie du circuit Fédéral de la Coupe de France de Stand up Paddle 14'.
Pendant le XIX siècle, la culture du caroubier par une grande partie de la population a fourni le bois dont la belle couleur rouge était appréciée dans la marqueterie locale. La chanson traditionnelle et les dictons populaires en portent encore témoignage[55].
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi :
Avec les taux de fiscalité suivants :
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 908 €, ce qui plaçait Villefranche-sur-Mer au 12 464 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[57].
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 300 €.
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3 374 personnes, parmi lesquelles on comptait 68,9 % d'actifs dont 62,0 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs.
On comptait 1 878 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 711 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 161, l'indicateur de concentration d'emploi est de 86,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi par habitant actif[Insee 5].
La commune compte sept monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques et 160 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[74].
Elle compte par ailleurs 66 objets répertoriés sur l'inventaire des monuments historiques et 95 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[76].
Le port de la Darse est réputé au niveau international pour la restauration de navires du patrimoine où sont présents de nombreux charpentiers spécialisés. Le chantier naval Pasqui est renommé dans la restauration des vieux gréements et la fabrication des grands mâts en bois.
Dans le passé, Villefranche a hébergé de nombreuses personnalités de l'art ou du show business, parmi lesquelles :
Honoré Boniface Papachin, ou Honorato Bonifazio Papacino en italien, corsaire puis amiral de la flotte espagnole au service du roi Charles II, mort en 1692. Il combattit l'amiral de Tourville en 1688 près d'Alicante durant la guerre de la ligue d'Augsbourg. Son nom a été donné au quai Papacino du port Lympia de Nice.
(Voir : Catégorie:Film tourné à Villefranche-sur-Mer)
La liste est très loin d'être exhaustive, plus d'une centaine de films répertoriés : la proximité des studios de la Victorine, à Nice, facilitant les choses... Notamment, on ne compte plus les tournages publicitaires.
Clean Cuve
Zone d'intervention
Clean Cuve intervient dans les Alpes-Maritime (06) et le Var (83) auprès des particuliers, professionnels et collectivités.
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