Service Citerne à fioul vers Saint-Cézaire-sur-Siagne
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Nettoyage de votre cuve à fioul aux alentours de Saint-Cézaire-sur-Siagne
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Mode opératoire de Clean Cuve pour le dégazage de votre cuve à fioul à Saint-Cézaire-sur-Siagne
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Service d’intervention Citerne à fioul
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- Démantèlement
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- Enlèvement ou découpage
- Tests d’étanchéité
- Pompage et stockage dans camion ADR
- Évacuation des déchets en centre de traitement agréé
Saint-Cézaire-sur-Siagne le bijoux du Sud de la France
Saint-Cézaire-sur-Siagne est une commune française dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Situé sur le rebord d'un plateau, dominant en à-pic les gorges de la Siagne, Saint-Cézaire-sur-Siagne est l'un des villages-belvédères typiques de la région. Célèbre notamment pour ses grottes qui se trouvent à 2 km du village, Saint-Cézaire-sur-Siagne, qui fut autrefois fortifié, conserve de pittoresques ruelles. Ses habitants sont appelés les Saint-Cézariens.
Saint-Cézaire-sur-Siagne est une commune située à l’écart des grands axes, à mi-chemin entre les plages de la Côte d'Azur et les stations de ski des Alpes. Situé sur un plateau à 475 mètres d’altitude, le village est protégé des vents du nord par le demi-cercle des « Préalpes de Grasse » et jouit ainsi d’un climat tempéré exceptionnel.
À vol d'oiseau, Saint-Cézaire-sur-Siagne se situe à 10,5 km à l'ouest de Grasse, à 20,9 km au nord-ouest de Cannes[2] et à 38,3 km à l'ouest de Nice.
Du centre du vieux village, la vue s’étend :
Le territoire de Saint-Cézaire-sur-Siagne est limité :
La superficie de la commune est de 3 002 hectares ; l'altitude varie entre 95 et 771 mètres.
Saint-Cézaire-sur-Siagne s’est implantée à l’extrémité ouest du département des Alpes-Maritimes. La commune est perchée sur un éperon qui, à l’ouest, domine la vallée encaissée de la Siagne, et vers l’est et le nord rejoint les collines délimitant son territoire.
Commune située dans une zone de sismicité moyenne.
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
Saint-Cézaire-sur-Siagne dispose de la station d'épuration de Peymeinade d'une capacité de 20 000 Équivalent-habitants.
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger.
Situé sur un plateau à 475 mètres d’altitude, le village est protégé des vents du nord par le demi-cercle des Préalpes de Grasse et jouit ainsi d’un climat tempéré exceptionnel.
Saint-Cézaire-sur-Siagne se situe à l'ouest de Grasse au confluent des routes départementales D5 (au nord, vers Saint-Vallier-de-Thiey), D13 (à l'est vers Grasse) et D105 (à l'ouest, vers la Siagne puis Mons et Callian).
Par la route, Saint-Cézaire-sur-Siagne est à 16 km de Grasse, 32 km de Cannes et 55 km de Nice.
La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Grasse et l'aéroport est l'aéroport de Nice-Côte d'Azur.
L'accès en bus se fait depuis Grasse, via la ligne B du syndicat mixte des transports "Sillages".
Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.
Saint-Cézaire-sur-Siagne est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11][12].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Cézaire-sur-Siagne, une unité urbaine monocommunale de 3 908 habitants en 2017, constituant une ville isolée[14][15].
La commune est en outre hors attraction des villes,.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (64,8 %), zones urbanisées (12,6 %), cultures permanentes (9,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
La commune, qui dispose d'un plan local d'urbanisme, est principalement composée de trois parties : le plateau à 500 mètres d'altitude où se situent les habitations et les activités, les collines entourant le plateau et culminant à 772 mètres au nord, enfin le site naturel des gorges de la Siagne constitué de falaises hautes de 300 mètres.
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 977, alors qu'il était de 1 680 en 1999.
Parmi ces logements, 73,5 % étaient des résidences principales, 20,5 % des résidences secondaires et 6,0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,4 % des appartements.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 76,6 %, en hausse par rapport à 1999 (69,2 %).
Des études locales faites par l’abbé Meyronnet montrent que le village était connu des Romains sous l'appellation Castrum Caesarii,. Ce sont ensuite les moines de l’abbaye de Lérins, propriétaires dès le IXe, qui modifièrent César en Césaire, à partir de l’homonymie et dans un souci d’harmonisation. Césaire, né vers 470 à Chalon-sur-Saône, était l’un des leurs, devenu évêque d’Arles en 500 et par la suite béatifié.
La découverte par Jean-Baptiste Bourguignat en 1866 d’outils (haches en pierre polie), d’ornements (bracelets et pendeloques en bronze et d’ossements humains) dans la grotte des Clapières dit aussi le Trou Camatte atteste l’existence d’habitants à Saint-Cézaire entre le Néolithique final et l'âge du bronze.
On compte plus d'un dizaine de dolmens sur le territoire de la commune. Ils sont constitués d’une chambre (cella) et d’un couloir d’accès toujours orienté vers l’ouest. Une dalle de couverture, maintenant disparue, recouvrait la chambre et un amoncellement de pierres, dont on voit encore les traces autour du dolmen, formait le tumulus. La plupart remontent au Néolithique et à l’âge du bronze, bien des traces de réoccupations de l'âge du fer ont été identifiées, notamment au Dolmen du Prignon, au Dolmen des Puades et au Dolmen de Lou Serre Dinguille.
Sur la commune, on trouve également des sépultures mégalithiques, généralement circulaire, formée au moins en partie de gros blocs assemblés, que l'on nomme « tombes en blocs ».
Certaines de ces tombes présentent des caractéristiques proches de celles des dolmens (tombe de Clauds ou Sargier, tombe en blocs de Mauvans sud, tombe en blocs du Prignon).
Au nord de la commune, on trouve les restes de plusieurs enceintes, appelées également oppidums ou castellaras, constitués de murs plus ou moins grossiers en pierre dont le rôle était certainement de servir de refuge pour les hommes et les animaux. Des camps aux enceintes elliptiques subsistent. La plupart de ces structures sont difficilement datables en l'absence de fouilles ou de découvertes :
D'après une tradition locale et non fondée, en 49 av. J.-C., Jules César aurait établi un poste d’observation à l'emplacement du village de Saint-Cézaire ainsi qu’une enceinte fortifiée et des granges à blé pour ravitailler troupes et populations. De cette époque daterait le pont des Gabres ou des Tuves.
Datant de la période romaine, ont été découverts des tombes, urnes, statuettes, débris de poteries, meules, pièces de monnaie, débris de canalisations et surtout un sarcophage trouvé dans un vallon au début du V siècle et qui, après avoir servi d’abreuvoir, est actuellement exposé dans la chapelle du cimetière, édifice roman du XIIe siècle.
Césaire fut abbé à Saint-Honorat avant d’être promu archevêque d’Arles au VI siècle. Au IXe siècle, les moines de Lérins acquièrent les terres du village qui prend alors son nom définitif. Organisés en prieuré, ils poursuivent l’action des Romains : la culture, l’éducation, et les soins portés à la population. La chapelle Notre-Dame de Sardaigne, construite sans doute sur les restes d’une ancienne abbaye devient l’église du village.
Au XII siècle, Bérengarius de Sancti Césari, premier seigneur du village reconnaît le consulat de la ville de Grasse. Se succéderont les familles d’Esclapon puis de Villeneuve et de Grasse.
Au début du XIV siècle, devant la menace des bandes armées, les habitants dispersés dans les hameaux préférèrent se replier sur le village en une véritable agglomération fortifiée. De cette époque, nous pouvons encore contempler les puits de la Vierge.
La mort de la reine Jeanne I ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en octobre 1387, ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le seigneur de Saint-Cézaire, Romée de Villeneuve. Il obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le 2 janvier 1388 et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans.
Au XVI siècle, l’économie est florissante, la population augmente (plus de 500 habitants), on construit hors les murs du village médiéval. Les moulins sur la Siagne sont très actifs : blé, huile d’olive.
Le noyau actuel a conservé sa physionomie féodale. Pendant deux siècles, 500 habitants vécurent ainsi repliés avec leurs bêtes et leurs récoltes (88 maisons). De ce fait, ils s’épargnèrent les grands fléaux de l’époque : les guerres et la peste.
Au début du XVII siècle, fut bâti sur plan au sud-est un nouveau quartier qui relia le centre au hameau de l’église paroissiale.
Cent ans plus tard fut érigée une nouvelle église pour remplacer l’édifice roman dévolu aux Pénitents.
La seigneurie de Saint-Cézaire qui appartenait en 1412 aux Villeneuve-Flayosc fut partagée en 1569 avec la famille de Grasse, seigneurs de Briançon jusqu’à ce qu’en 1718, leurs descendants vendent leurs parts au Grassois Antoine Cresp qui ajoute alors à son nom celui de la seigneurie formant les Cresp de Saint-Cézaire.
Lorsque la famille de Cresp de Saint-Cézaire s’éteint en 1819, le château est vendu à la commune, qui y installe l'hôtel de ville.
Des troupes de tous ordres, alliées ou ennemies, y logèrent sans trop de dégâts.
Au milieu du XVIII siècle, la population dépasse le millier d’habitants et le cheptel compte plus de 2 000 moutons (des battues sont organisées contre les loups). Les hameaux se sont reconstitués : certains comprennent une soixantaine d’habitants.
En 1835, la commune compte deux moulins à papier, plusieurs moulins à farine et à huile (l’olivier constituant la principale ressource), des scieries, une carrière de marbre, une tuilerie. Elle avait également entrepris l’élevage du ver à soie.
Ancienne commune du Var, Saint-Cézaire fut rattachée aux Alpes-Maritimes en 1860.
En 1868, le maire préside à la construction du canal de la Siagne, apportant ainsi l'eau courante à la commune. Sont ensuite construits la fontaine aux Mulets et les lavoirs, puis l'usine électrique de la Siagne en 1905. Les conditions de vie des habitants changent alors très vite, mais le village garde toutefois le charme de son passé rural.
Saint-Cézaire atteint 1 500 habitants en 1885 grâce à l’immigration de montagnards. Les ressources essentielles étaient encore liées à l’agriculture : blé, vigne mais surtout l’olivier : 40 000 oliviers produisaient 100 tonnes d’huile d’olive par an.
Le début du XX siècle connaît le développement du réseau routier ainsi que d’importantes réalisations.
C’est dans les années 1930 que l’économie locale régresse : la culture des céréales est abandonnée, la cueillette des olives diminue, ainsi que celle du raisin. La population décroît, il n’y a plus que 800 habitants en 1940. Il faut se tourner vers d’autres activités.
Or, un jour par hasard, un cultivateur découvre une grotte qu’il aménage pendant plusieurs années et la fait visiter… On aménage un belvédère sur l’emplacement des « greniers de César » afin d’admirer la vallée de la Siagne. Les chapelles sont restaurées. Les résidences secondaires investissent les anciennes terres agricoles. L’hôtellerie confortée, artistes et écrivains font des séjours à Saint-Cézaire ou s’y installent. L’aventure touristique commençait…
Lors des dernières élections municipales de 2008, le nombre d'habitants étant compris entre 2 500 et 3 499, le conseil municipal compte 23 membres.
Depuis 1935, seuls quatre maires se sont succédé à Saint-Cézaire-sur-Siagne :
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi :
Avec les taux de fiscalité suivants :
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 34 658 €, ce qui plaçait Saint-Cézaire-sur-Siagne au 6 958 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[37]
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 470 €.
Saint-Cézaire-sur-Siagne relève du tribunal d'instance de Grasse, du tribunal de grande instance de Grasse, de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, du tribunal pour enfants de Grasse, du conseil de prud'hommes de Grasse, du tribunal de commerce de Grasse, du tribunal administratif de Nice et de la cour administrative d'appel de Marseille.
Au 29 avril 2011, Saint-Cézaire-sur-Siagne n'est jumelée avec aucune commune.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2020, la commune comptait 3 927 habitants, en diminution de 0,08 % par rapport à 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (27,3 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
Saint-Cézaire-sur-Siagne est située dans l'académie de Nice.
La ville administre une école maternelle et une école élémentaire au sein de l'« école primaire publique Saint-Cézaire ».
En mai 2011, se déroulera la première édition du « Festival du conte en Terres de Siagne ».
Début juillet, depuis 2000, les « Rencontres des lauréats de conservatoires » sont la manifestation phare de la vie culturelle du village.
Depuis 2008, l'association « Saint-Cézaire jazz festival » organise chaque année en août un festival de jazz autour d'un master class, le Festi-Jazz.
Chaque année, le premier week-end après la rentrée scolaire, il y a la fête foraine, prenant place dans le parking principal du village, suivie de feux d'artifice le samedi soir.
Deux médecins généralistes sont installés à Saint-Cézaire. L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier de Grasse.
Les clubs sportifs sont nombreux à Saint-Cézaire : athlétisme (Sow-Sport), danse-country, club vélo santé et cyclotourisme, équitation, football, forme et combat, gymnastique douce, judo, karaté Do, karaté self-défense, Qi Gong, randonnées pédestres, tennis, tir à l'arc, yoga.
Les Saint-Cézariens disposent de plusieurs lieux de culte catholique : l'église paroissiale Saint-Cézaire, la chapelle Saint-Saturnin au sud, la chapelle Saint Ferréol au pied du rocher de son castellaras et la chapelle Notre-Dame de Sardaigne. Saint Joel est notamment réputé pour avoir exorcisé un paysan du nom d'Alexandre. Ces lieux dépendent de la paroisse Sainte-Marie-des-Sources de Saint-Auban, l'une des six paroisses du doyenné du Pays de Grasse, au sein du diocèse de Nice.
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 2 317 personnes, parmi lesquelles on comptait 72,2 % d'actifs dont 65,0 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs.
On comptait 863 emplois dans la zone d'emploi, contre 442 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 528, l'indicateur de concentration d'emploi est de 56,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un emploi pour deux habitants actifs[51].
Au 31 décembre 2010, Saint-Cézaire-sur-Siagne comptait 369 établissements : 24 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 23 dans l'industrie, 82 dans la construction, 210 dans le commerce-transports-services divers et 30 étaient relatifs au secteur administratif.
En 2011, 60 entreprises ont été créées à Saint-Cézaire-sur-Siagne, dont 46 par des autoentrepreneurs[55].
Plusieurs entreprises spécialisées dans les parfums sont installées à Saint-Cézaire. En particulier :
Nées il y a six millions d'années, les grottes de Saint-Cézaire s'enfoncent à près de 40 mètres sous terre pour la partie aménagée sur un parcours d'environ 200 mètres. Leurs principales caractéristiques sont un concrétionnement important et la présence d’oxyde de fer (couleur rouge).
L'ensemble du site mégalithique a été découvert en 1866 par Jean-Baptiste Bourguignat. On y répertorie huit dolmens dont les plus remarquables :
Les trois autres sont les dolmens Collebasse, Le Prignon, Les Bernards[27]
Construite à la fin du XII siècle, ce fut l'église paroissiale jusqu'en 1720. La nef unique, voûtée en berceau brisé, est divisée en trois travées et se termine par une abside en cul de four. La façade a été modifiée au XIXe siècle par la mise en place du portail actuel. L'intérieur est riche, notamment deux bustes reliquaires du XVII siècle (celui de saint Césaire et celui de sainte Victoire) et un sarcophage du IVe siècle découvert au début du XIX siècle dans le quartier des vallons. La traduction de l'inscription permet de savoir que ce sarcophage contenait les cendres de Marcus Octavius Népos qui mourut le jour de ses 18 ans au moment où il allait entrer dans une école militaire. Son père Marcus Octavius Valérianus et sa mère Julia Sempronia dans leur malheur ont élevé ce monument, qui fut utilisé comme abreuvoir après sa découverte[68].
Clean Cuve
Zone d'intervention
Clean Cuve intervient dans les Alpes-Maritime (06) et le Var (83) auprès des particuliers, professionnels et collectivités.
Suggestion de recherches associées