Cuve à mazout à proximité de Vidauban
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Sur Vidauban ou ses environs, vous recherchez un professionnel en cuve à fioul aux environs de Vidauban pour prendre en main le vôtre. Vous souhaitez être servi par une équipe compétente, ayant de très bons retours et proposant des services à un rapport qualité/prix satisfaisant. Notre entreprise Clean Cuve correspond parfaitement à tous ces critères. Nous avons une équipe disponible à toute heure pour une intervention à Vidauban. Appelez-nous dès maintenant afin que nous puissions nous rendre sur votre propriété pour faire un premier constat.Avez-vous des soucis avec votre cuve à fioul aux environs de Vidauban ? Votre réservoir à mazout doit-il faire l’objet d'une éventuelle dégazage, d'une éventuelle entretien, d'une éventuelle neutralisation ou de enlèvement ? Vous souhaitez faire appel à une entreprise compétente et offrant la qualité de travail parfaite pour prendre en main votre citerne.
Dégazage de votre cuve à fioul à Vidauban
L’entreprise Clean Cuve vous propose ses services d’entretien, de réparation et de neutralisation et de retrait de cuves à fioul Vidauban. Que vous soyez un particulier ou un professionnel, comptez sur nous pour entretenir votre cuve à fioul à Vidauban. Équipés de camion-citerne et d’une équipe compétente, nous sommes prêts à vous satisfaire par la qualité de nos services. Les fuites des cuves à fioul domestique peuvent polluer les puits d’eau potable, causer des problèmes d’odeur et potentiellement de vapeur à l’intérieur de la maison, polluer les puisards, les égouts, les systèmes septiques, les zones humides et les cours d’eau, coûter beaucoup d’argent pour les nettoyer, et réduire la valeur des maisons.
Retrait de votre cuve à fioul à Vidauban
Votre cuve fioul n’est plus en service, pensez à la neutraliser avec Clean Cuve. Suivant l’arrêté du 1er juillet 2004 : les propriétaires de cuves à fioul inutilisées ont pour obligation de les faire vidanger, dégazer, nettoyer puis de les faire enlever ou de les faire combler. Nous intervenons chez les particuliers et les professionnels pour le dégazage, le nettoyage, la découpe des cuves fioul, ainsi que pour l’enlèvement, le transport et la neutralisation. Nous procédons au remplissage de votre cuve fioul par un produit inerte : sable, béton, perlite. De nombreux propriétaires choisissent de transformer leurs cuves à fioul inutilisées en récupérateur d’eau. Si vous souhaitez en faire de même avec votre réservoir sur Vidauban et ses environs, contactez notre entreprise Clean Cuve. Nous vous proposons une solution de reconversion efficace de votre cuve à fioul. Il s’agit d’une option très pratique, peu couteuse et facile à réaliser. L’opération consiste à restaurer les parois de la cuve après que celle-ci ait été soumise à la procédure obligatoire associée à la mise hors service (vidange, nettoyage et dégazage). Nous appliquons un revêtement en polyester sur tout l’intérieur de la citerne pour prévenir une éventuelle corrosion due au contact avec l’eau. Ensuite, nous y installons une pompe. L’eau qu’elle stockera n’est pas potable, mais vous pouvez l’utiliser pour le lavage de votre voiture ou pour l’arrosage de votre jardin.
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Nos interventions concernant Cuve à mazout
- Nettoyage et de vérification de votre cuve à fioul aux alentours de Vidauban
- Dégazage
- Vidange
- Pompage de la boue hydrocarbures
- Neutralisation au sable/à l’eau
- Démantèlement
- Reconversion
- Enlèvement ou découpage
- Tests d’étanchéité
- Pompage et stockage dans camion ADR
- Évacuation des déchets en centre de traitement agréé
Vidauban une belle découverte provençale
Vidauban est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, sur les bords de l'Argens. Elle connaît une croissance démographique rapide : 8 546 habitants en 2005, 12 693 habitants en 2020 selon l'INSEE.
Vidauban est située à l'extrémité nord de la plaine des Maures, à la fois dans la partie orientale du massif des Maures et dans la moyenne vallée de l'Argens.
Elle est distante de 6 km des Arcs, 11 du Luc et 18 de Draguignan.
Son territoire couvre 7 393 hectares. Plus de 4 000 ha se composent de forêts et plus de 1 100 ha sont à vocation agricole.
Les nombreux domaines viticoles qui s’adonnent à la culture de la vigne produisent un vin de qualité reconnue, d’appellation « A.O.C » (la majeure partie) ou « vin de pays ».
La commune se trouve en zone de sismicité 2 « faible »,.
Selon la classification de Köppen et Geiger, le climat est classé de type Csa.
C'est une commune viticole, traversée par la RN 7 (devenue départementale N 7) et l'autoroute A8. Ces deux voies routières majeures du département délimitent assez nettement le nord (pins d'Alep, chênes, peupliers) et le sud (pins parasols, bruyères et grès rosés) de cette commune traversée par l'Argens.
Le a été mise en service la déviation de la départementale N 7 à Vidauban. Cette voie de contournement d'environ 3 km, dont la maîtrise d'ouvrage a été confiée au conseil général du Var, a nécessité 200 000 m de terrassement, cinq bassins de traitement des eaux, deux carrefours giratoires, cinq passages supérieurs et un inférieur. Elle diminue désormais les importantes difficultés de circulation liées aux lourds trafics en transit dans l'agglomération.
La commune est desservie par les réseaux de lignes régulières Varlib et Tedbus.
Vidauban est desservie par la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille, avec un arrêt en gare de Vidauban.
La commune est traversée par l'Aille et la Florièye, deux affluents de l'Argens.
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
Vidauban est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.
Elle appartient à l'unité urbaine de Vidauban, une unité urbaine monocommunale[27] de 12 693 habitants en 2020, constituant une ville isolée,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vidauban, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui concerne 1 commune, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30][31].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,7 %), cultures permanentes (20,3 %), forêts (18,6 %), zones urbanisées (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[33].
Attestée sous la forme in castro Vite Albano (« la vigne d'Auban ») en 1014.
L'origine du mot Vidauban est Vitis Alba (vigne blanche), c'est-à-dire la clématite ( vidalbo en occitan) que l'on trouve sur les rives de l’Argens. On trouve aussi, dans d'anciens documents, les appellations de Vicus Albanorum et Castrum de Vidalban. Le nom de Vidauban est d'origine romaine. Quelques ruines, inscriptions et le passage de la voie romaine en attestent. Cette écriture se retrouve plus précisément sur une carte de 1293 sous la forme Vidalban.
Les enceintes fortifiées, situées sur les hauteurs de Sainte-Brigitte, au fort des Mûres, à Châteauneuf, confirment une présence humaine à l'âge de fer.
Les vestiges de voie romaine ont été dégagés dans le secteur des Blaïs. D'autres permettent de penser que l'antique cité de Forum Voconii devait se situer entre le hameau actuel des Blaïs et le domaine des termes au Cannet des Maures.
Vers la fin du premier millénaire, pour éviter les Sarrasins implantés à la Garde Freinet, les habitants se repliaient alors sur les hauteurs mais temporairement, leur vie s'organisant le long de la route d'Italie bordée d'un dizaine de chapelles. C'est à cette époque que l'existence de Castrum nomine Vite Albano apparaît dans les chartes. C'était une possession de la famille princière des comtes de Marseille.
Par la suite, le « fief très noble de Vidalban » apparaît dans diverses transactions, même s’il demeure dans le patrimoine des vicomtes.
Au XIV siècle, le lieu de Vidauban était déjà formé en communauté. Les habitants possédaient une bonne partie des terres cultivables et leurs biens ne devaient pas être soumis à la "tasque" en grains et vins.
En 1390, le fief de Vidauban revient à Raimond de Villeneuve, fils de Giraud, baron des Arcs. Il demeurera dans cette famille pendant plus de 300 ans.
Dans la deuxième partie du XV siècle, l'histoire de Vidauban est très mal connue. On sait seulement que le terroir a été momentanément déserté par la population, et que l’ancien village, dans le secteur dit « Derrière le château », a été détruit en 1500[37].
En 1511, un « acte d’habitation » est signé entre Louis de Villeneuve et 17 « manants ». Le seigneur dispose de ses privilèges (justice, impôts…), mais les habitants peuvent se constituer en communauté ; ils peuvent aussi élire des administrateurs qui, pendant leur mandat d’un an, s’occupent des affaires communales et des services publics. Ce contrat régira les rapports entre seigneur et habitants jusqu’à la Révolution de 1789.
Au début du XVI siècle, le village se déplace en direction de la route d'Italie, autour de l'église actuelle. L'époque des Villeneuves durera jusqu'en 1698, date à laquelle le comte de Vintimille recevra, de messire de Raity, le fief, terre et seigneurie de Vidauban. À cette époque-là, Vidauban compte 146 chefs de familles, 83 maisons habitées et 72 non habitées.
Lors des derniers soubresauts des princes ligueurs le duc d'Épernon fut battu par le duc de Guise, envoyé par : Henri IV.
En 1707, le village est pillé et brûlé, l’église exceptée, par l’armée de Savoie qui venait de lever le siège de Toulon. De nombreux habitants parviennent à fuir ; d’autres, réfugiés dans l’église, y seront massacrés. Le village sera progressivement reconstruit. Une nouvelle invasion aura encore lieu en 1747.
En 1776, Vidauban compte 1 205 habitants. En 1786, l’ancien cimetière, Derrière le Château, est abandonné au profit de celui de l’Aubrède.
C'est ainsi que débutent, le , l'estimation, fixation, évaluation et cotisation de toutes les propriétés, droits et revenus appartenant au seigneur, comte de Vintimille. Le 12 frimaire an II () des lots sont formés et vendus. 1793 est aussi l’année de la destruction du château. Par la suite, l’ancienne place du château deviendra la place de la Mairie.
Lors de la Deuxième République, Vidauban est une commune dont la population est républicaine convaincue : les huit chambrées comptent 560 membres en 1849. Par ailleurs, Cavaignac recueille 170 voix en , Ledru-Rollin 83, et Louis-Napoléon Bonaparte seulement 113[38].
Après le coup d'État du 2 décembre 1851, la commune se soulève dès que la nouvelle de la dissolution de l’Assemblée nationale par Louis-Napoléon Bonaparte est connue. Ainsi, le jeudi , c’est la prise du pouvoir à Vidauban, durant laquelle Les républicains s’emparent de la mairie. Le , les colonnes d’insurgés venant du Luc et de la Garde-Freinet se rallient à Vidauban. Les Vidaubannais se joignent à elles et partent le lendemain, , vers Les Arcs pour la bataille d’Aups. Le , marquera pourtant le début d’une terrible répression, qui laissera une cinquantaine de morts parmi les 6 000 hommes de l’armée républicaine, notamment à Lorgues.
Après la bataille, c’est le 6 régiment d'infanterie qui occupe le village et impose le retour à l’ordre[40]. 288 Vidaubannais sont poursuivis, et 77 condamnés (dont 39 par contumace) : avec les deux morts de la commune, on peut estimer à environ 300 au moins le nombre de Vidaubannais ayant participé à la résistance au coup d’État.
Avant 1850, on dénombrait beaucoup de fours à poix sur le territoire communal. La plupart produisait de la poix « navale », substance résineuse et collante. À la fin du XIX siècle, Vidauban est devenue une commune à vocation semi-industrielle, prospère notamment grâce à l’industrie du liège et des bouchons.
Au XIII siècle, Vidauban est sans doute située au sud de la colline de Sainte-Brigitte, dans le secteur dit Derrière le Château. En 1220, Bertrand et Jourdan de Vidauban donnent des biens à l’ordre du Temple, lesquels formeront plus tard la commanderie d’Astros, dépendant de la commanderie du Ruou[42].
La Révolution atteint Vidauban en 1790, avec l'application d'un décret de l'Assemblée nationale demandant le recensement des « biens nationaux », autrement dit des biens des nobles, du clergé et, à Vidauban, de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. En effet, les Hospitaliers avaient pris possession du domaine d’Astros, à la suite de la dissolution de l’ordre des Templiers par Philippe le Bel en 1308.
Lors de la Première Guerre mondiale, la commune met à la disposition de la 15 région militaire l’établissement numéro 12, pour l’assistance aux convalescents militaires (ACM). Cette structure dispose de 20 lits pour accueillir les blessés du front.
Le village de Vidauban est occupé pendant la Seconde Guerre mondiale, d'abord par les Italiens, qui s’y installent en 1942, puis par les Allemands en 1943. Pressentant un débarquement imminent en Provence, beaucoup de Vidaubannais sont mobilisés en 1944 pour le travail obligatoire aux défenses du littoral, au Lavandou et à La Londe. Le village est libéré par les troupes américaines le après-midi, à la suite du débarquement de l’opération « Dragoon » qui a eu lieu la veille sur les côtes varoises.
Vidauban fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-Communauté d'Agglomération Dracénoise) qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan de 110 019 habitants en 2019[48], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2019 sont (par ordre alphabétique) :
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme qui a été approuvé par délibération du conseil municipal du ,.
La commune bénéficiera du schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Dracénie en cours d'instruction.
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi :
Avec les taux de fiscalité suivants :
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 980 €.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,.
En 2020, la commune comptait 12 693 habitants, en augmentation de 13,82 % par rapport à 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Professionnels et établissements de santé :
Vidauban est ville départ de la 2 étape du Tour du Haut-Var 2019.
Profitant de la notoriété grandissante des vins Côtes-de-provence, qui ont accédé au rang d’Appellation d'origine contrôlée en 1977, la viticulture est devenue l’activité principale de la commune de Vidauban.
Elle réunit aujourd'hui cinq châteaux, cinq domaines[66], une cave coopérative et la maison du rosé-Pôle et Œnologie de la chambre d'agriculture[68].
Le vin rosé représente 80 % des volumes produits.
Les domaines d’Astros sont célèbres pour leur opération « Cueillez les pommes » avec leurs 10 000 pommiers d’une douzaine de variétés différentes, mais aussi par le tournage du "château de ma mère"[70].
Vidauban, placée au cœur du Var, est le point de départ idéal pour découvrir les sites historiques et culturels de la Provence. Sa situation privilégiée, ses paysages et sa végétation en font un cadre agréable, qui n'est éloigné de la côte méditerranéenne que de 25 kilomètres, et de moins de 100 kilomètres des premières stations de ski des Alpes du Sud.
Au , la commune comptait[73] :
Anciennes activités industrielles :
Clean Cuve
Zone d'intervention
Clean Cuve intervient dans les Alpes-Maritime (06) et le Var (83) auprès des particuliers, professionnels et collectivités.
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