Les spécialistes Cuve à mazout près de La Colle-sur-Loup
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Plusieurs foyers utilisent le fioul domestique pour se chauffer. L’entreprise Clean Cuve vous propose ses services d’entretien, de réparation et de neutralisation et de retrait de cuves à fioul. Que vous soyez un particulier ou un professionnel, comptez sur nous pour entretenir votre cuve à fioul. Équipés de camions-citernes et d’une équipe compétente, nous sommes prêts à vous satisfaire par la qualité de nos services. Si vous êtes propriétaire d’une installation au fioul, vous savez que votre cuve à fioul à proximité de La Colle-sur-Loup est un élément important. Après tout, elle stocke le combustible dont vous avez besoin pour produire de la chaleur et assurer votre sécurité et celle de vos proches. Cependant, comme tous les appareils, elle devra être remplacée lorsqu’elle aura atteint la fin de sa durée de vie. À ce moment-là, vous devez décider de reconvertir ou de la faire enlever. Clean Cuve dispose des équipes compétentes pour le dégazage, découpage ou neutralisation de cuves. Nous vous proposons des prestations liées aux cuves à fioul. Nous recommandons d’effectuer un nettoyage de sa cuve fioul tous les 10 ans, Clean Cuve est le professionnel qu’il vous faut pour l’entretien.
Quelles sont les causes des fuites des réservoirs vers La Colle-sur-Loup ?
L’entreprise Clean Cuve vous propose ses services d’entretien, de réparation et de neutralisation et de retrait de cuves à fioul La Colle-sur-Loup. Que vous soyez un particulier ou un professionnel, comptez sur nous pour entretenir votre cuve à fioul à La Colle-sur-Loup. Équipés de camion-citerne et d’une équipe compétente, nous sommes prêts à vous satisfaire par la qualité de nos services. Les fuites des cuves à fioul domestique peuvent polluer les puits d’eau potable, causer des problèmes d’odeur et potentiellement de vapeur à l’intérieur de la maison, polluer les puisards, les égouts, les systèmes septiques, les zones humides et les cours d’eau, coûter beaucoup d’argent pour les nettoyer, et réduire la valeur des maisons.
Mode opératoire de Clean Cuve pour le dégazage de votre cuve à fioul près de La Colle-sur-Loup
Vous envisagez de neutraliser votre cuve à fioul et vous recherchez un professionnel qui peut assurer ce service sur La Colle-sur-Loup. Notre entreprise Clean Cuve intervient dans la région. Les solutions de neutralisation que nous proposons sont fiables et garanties. Sachez toutefois que votre cuve à fioul doit obligatoirement être soumise à une vidange, un nettoyage approfondi et un dégazage avant qu’elle puisse être neutralisée. Nous pouvons nous en charger si vous ne les avez pas encore confiés à d’autres professionnels. Clean Cuve vous laisse le choix entre une neutralisation par comblement avec du sable, du béton, de la terre ou de la perlite. Si vous envisagez une mise hors service définitive du réservoir, vous pouvez choisir pour le béton. Par contre, si la neutralisation n’est que provisoire et que vous prévoyez une réutilisation de la cuve pour plus tard, optez pour le sable, la terre ou la perlite. Une fois votre choix fait, nous faisons venir le matériau par camion jusqu’à votre propriété. Puis, nous le déversons dans la citerne jusqu’à ce que celle-ci se remplisse. Nous terminons l’opération par la fermeture de la cuve. Nous vous remettons un certificat de conformité et un bordereau de suivi des déchets (si le nettoyage a été réalisé par notre équipe).
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Service d’intervention Cuve à mazout
- Nettoyage et de vérification de votre cuve à fioul à proximité de La Colle-sur-Loup
- Dégazage
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La Colle-sur-Loup une ville, une histoire
La Colle-sur-Loup [la kɔl syʁ lu] (Sa Còla de Lop en provençal) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est membre de la Casa (communauté d'agglomération Sophia Antipolis).
Ses habitants sont appelés les Collois.
La Colle-sur-Loup est située en Pays vençois, tout près de Saint-Paul-de-Vence, au nord-ouest de Cagnes-sur-Mer (dont la plage n'est qu'à 7 km) et à l'ouest de Nice (18 km).
Le territoire communal de La Colle-sur-Loup se disperse sur une superficie de 982 hectares où les espaces verts (439 hectares) occupent près de la moitié de la surface.
La majeure partie de son territoire est très accidentée et peut se diviser en trois zones distinctes : le nord de la commune est occupé par un ensemble de collines boisées (forêt de la Sine) culminant à 351 m. à la Colle Loubière ; au sud du village s'étend une vaste plaine autrefois maraîchère, gagnée par l'urbanisation depuis la seconde moitié du XX siècle ; et la vallée du Loup, qui borde l'ouest de la commune, passe sous le plateau de Montmeuille et traverse de basses gorges au canyon de Saint-Donat, près de la Luona.
La vallée du Loup permet de gagner les Préalpes en direction de Gréolières, au nord. Ses rives, très fréquentées l'été pour la baignade et la pêche, sont protégées par un parc départemental, qui s'étend jusqu'à Villeneuve-Loubet et Cagnes-sur-Mer. Quelques infrastructures de loisirs y sont installées (Ludiparc, campings, centre de canoë-kayak, sites d'escalade). La colline de Montmeuille est aménagée en un parc de la Guérinière.
La Colle-sur-Loup est une commune urbaine,. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2][3].
Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[5][6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7][8].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (55,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (55 %), forêts (44,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1362 dans un cartulaire de Saint-Pons (Colla), vient du provençal couala, colline ou montagne.
Des notes issues d’archives mentionnent que « Loup » aurait un rapport direct avec l'animal. La vallée encore sauvage en certains lieux était, il y a longtemps et jusqu’en 1860, peuplée de loups. Une autre explication veut que le nom du fleuve provienne d'une racine romaine lapis – hauteur, ravin – ou pré-indo-européenne lepp, lepas – rocher ou gros caillou.
La commune est située dans l'aire linguistique de l'arrondissement de Grasse, où l'article du Sou est traditionnellement d'usage, et se nomme ainsi Sa Còla de Lop en provençal.
Le territoire de La Colle-sur-Loup a livré de multiples traces de peuplements préhistoriques et protohistoriques :
La grotte Bianchi, où fut retrouvée une sépulture collective datée de la fin du Chasséen et occupée dès le néolithique moyen et l'âge du bronze, en est le plus ancien témoignage.
À l'âge du fer, le site est occupé par des Ligures de la tribu des Décéates, qui y fondent l'oppidum de Montmeuille sur un éperon barré au sud du village actuel.
À leur arrivée, les Romains investissent certains de ces habitats préhistoriques dont la grotte Bianchi et le castellaras de Montmeuille, sur lequel ils fondent un camp qui leur sert à surveiller les alentours.
L'ossuaire de la grotte Bianchi tient lieu de carrière de calcaire à ses nouveaux occupants.
Au cours de ses fouilles menées en 1954 au nom de l'IPAAM (Institut de fouilles de Préhistoire et d'Archéologie des Alpes-Maritimes), le commandant Octobon signale la présence de fragments de tegulae décorés de motifs animaliers, d'une douzaine de monnaies du III siècle av. J.-C. et des céramiques africaines postérieures au Ier siècle aujourd'hui conservés au Musée d'anthropologie de Monaco.
Sur l'ensemble du mobilier provenant de la grotte Bianchi en réserve au Musée de Préhistoire Régional de Menton, on compte 71 tessons : douze amphores, deux lampes, trois céramiques modelées, sept à pâte brune, sept à pâte claire, 17 à pâte grise et 23 sigillées claires. Seuls onze ont pu être identifiés (bords d'amphores de type africaine et gauloise, d'une coupe carénée en céramique, deux plats, gobelet globulaire, deux fragments d'amphores, deux fragments d'une lampe à décor perlé, bord d'une petite urne...), tous datés du II siècle au VIIe siècle.
Les invasions barbares, suivies de celles des Sarrasins, dévastent la région durant tout le haut Moyen Âge jusqu'en 973, quand Guillaume I le Libérateur chasse durablement ces-derniers et consolide le pouvoir des comtes de Provence dans les alentours de Nice.
Peu de temps après (en l'an 1012 ou 1016, voire dès la fin du X siècle, les sources historiques divergent quant à la date de cet événement) est créé, sur le site d'un petit monastère que les Sarrasins avaient détruit en 730, l'habitat fortifié du Canadel dont le prieuré relève de l'abbaye de Lérins. Ces terres forment alors, avec celles qui composeront plus tard le village de Villeneuve-Loubet, le fief de Gaudelet[15].
Vers 1219, les comtes de Provence répriment durement une rébellion de la noblesse locale : Romée de Villeneuve, meneur d'une expédition victorieuse au service de Raimond Bérenger, se voit attribuer la partie sud de Gaudelet (où il fonde un château ainsi qu'un village auxquels il donne son nom) tandis que le reste du fief est rattaché à Saint-Paul, qui est demeurée fidèle au pouvoir comtal. Le « bourg de la Colle » sera considéré comme un faubourg de Saint-Paul qu'à la Révolution française.
Jusqu'au XVI siècle, le peuplement de La Colle se fait de façon très dispersée, sous la forme de fermes et de maisons d'abord isolées, puis regroupées en petits hameaux.
Le village naît véritablement en 1537, lorsque François I fait construire une seconde enceinte fortifiée autour de Saint-Paul et que de nombreuses maisons y sont démolies. Ce sont les familles expropriées de ces demeures et celles des hameaux disséminés dans la campagne et les "colles" – coteaux – qui forment peu à peu l'agglomération colloise.
Le fief est alors partagé entre l’évêque de Vence et la famille de Villeneuve des branches de Thorenc puis de Tourrettes. Une première église paroissiale est édifiée en 1623, le clocher est achevé en 1673. Un hôtel-Dieu est créé en 1723, témoignant de la prospérité de la communauté d'habitants de La Colle, qui dépasse en nombre celle de Saint-Paul.
Lors de la refonte de 1792, le village obtient son érection en commune autonome sous l’appellation de La Colle-du-Var (de même que Saint-Paul, qui devient Saint-Paul-du-Var) et gagne son propre consul. L'ancien hôtel de ville est construit en 1802.
Le village nouvellement érigé en commune continue de grossir et de prospérer grâce à sa plaine alluvionnaire fertile dont les rendements agricoles – vin, céréales, oliviers – et de l'élevage sont élevés. Eugène Tisserand de Melun, dans son ouvrage Un touriste à Vence, parle de La Colle en ses termes : « La Colle est un village industrieux. Il est peu de pays où les habitants aient un air d'aisance plus marqué. Ils commercent de tout et partout ».
Toutefois, c'est dans la culture des plantes aromatiques à destination des parfumeries grassoises que vont se spécialiser les agriculteurs collois à partir de la seconde moitié du XIX siècle jusqu'au milieu du XXe siècle. La culture de la rose de mai, tout particulièrement, contribue à la renommée de La Colle, où 37 hectares de champs sont consacrés à sa culture, ce qui en fait la deuxième plus importante commune productrice de roses à parfum derrière Grasse. La rose thé, la fleur d'oranger, la violette et la menthe poivrée sont également cultivées à La Colle durant cette période.
L’Espace Rose de Mai, rue Clemenceau, aujourd’hui salle polyvalente municipale, est l’ancienne Coopérative des producteurs de fleurs à parfum. Ouverte entre 1907 et 1995, elle regroupait à l’origine des propriétaires de La Colle, Saint-Paul et Villeneuve-Loubet et avait été créée pour la collecte et la distillation des fleurs.
De 1911 à 1932, la ligne Cagnes-Vence des T.A.M. (Tramways des Alpes-Maritimes) passe près du village, dont la halte est située dans le bâtiment qui accueille aujourd'hui l'office de tourisme de La Colle-sur-Loup, et contribue à sa richesse en facilitant l'exportation de ses productions agricoles.
La Colle-sur-Loup prend son nom actuel en 1926.
La commune, qui appartient à l'agglomération niçoise, est transformée par une croissance démographique rapide durant les années d'après-guerre, et sa population est plus que doublée entre 1946 (1 511 habitants) et 1975 (3 700 habitants). Les cultures florales sont alors délaissées au profit de l'hôtellerie (notamment du camping sur les rives du Loup), du tourisme et de l'artisanat.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2020, la commune comptait 8 048 habitants, en augmentation de 1,46 % par rapport à 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Longtemps commune agricole qui a notamment exploité la rose pour les parfumeries de Grasse, La Colle-sur-Loup est devenue une commune hétérogène au niveau des services et des commerces.
Elle compte aussi un grand nombre d'antiquaires et de créateurs d'arts qui ont fait sa renommée.
Les trois coupeaux et le loup évoquent le nom de la commune, l'épée (ou glaive) est l'attribut de saint Paul et les deux coquilles commémorent l'action conjointe de l'église et de l'hôpital dans le village.
L'écu est parfois surmonté d'une couronne murale représentant l'abbaye du Canadel et l'ancien pavillon de chasse royal de Montfort. En soutien, deux rameaux passés en sautoir, à dextre, le rosier, à senestre, l'olivier, rappellent les principales cultures pratiquées par les Collois, jadis omniprésentes.
Enfin, la devise de La Colle-sur-Loup, Concordia et Labore (Concorde et travail), est gravée dans la pierre du clocher de l'église Saint-Jacques-le-Majeur.
Clean Cuve
Zone d'intervention
Clean Cuve intervient dans les Alpes-Maritime (06) et le Var (83) auprès des particuliers, professionnels et collectivités.
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